Il arrive un moment où la seule nourriture de l’âme se retrouve dans la folie. Un chemin que nous ne daignons emprunter par craintes de l’inconnu ou du regard qui en jugera. Ce qui nous apparaît parfois normal n’a aucun intérêt désormais. Il est si simple de chercher ce que le passé nous a appris, mais si fou de s’ouvrir à la nouveauté. S’épanouir dans la normalité ou s’épanouir de sensations nouvelles. Ce rêv’ étrang’ et pénétrant. Les attentes sont parfois comblées, mais la routine n’émerveille pas. Et même si le cadre est parfois utile, tant qu’il n’est pas brisé, on ne le reconstruit pas.
Son nom? Je me souviens qu’il est doux et sonore. – Verlaine