
La première fois que je l’ai croisé, c’était au boulot. Le type grand, chevelure argentée, silhouette élancée, un petit accent à faire frémousser. Chaque fois que je devais me joindre à son lieu de travail, je pouvais sentir mon corps réagir. Juste à l’idée d’être près m’excitait. Je maîtrise la retenue et les relations de travail sont plus que respectueuses, mais ça ne m’empêchait pas de fantasmer en secret.
Le temps a passé et j’ai quitté le boulot pour de nouveaux défis. Je ne l’ai revu qu’à une soirée avec une collègue commune. Les verres se sont enfilés, les rires, la complicité. Malgré le fait que ses amis semblaient remarquer le flirt entre nous et que notre collègue tentait de me dissuader de flirter, j’étais trop enflammée pour avoir envie de reculer. Sous la table, ses mains glissaient sur ma cuisse, j’écartais les jambes pour être plus accessible. Ses doigts n’effleuraient que ma peau mon corps n’avait aucune envie d’en rester là. Il était marié, c’était un papa de l’école des enfants et la vie nous amenait à nous croiser dans différents contextes. Mais ses doigts… je me suis éclipsée à la salle de bain. Il est venu me rejoindre et l’étreinte était vive, hormonale, intense. Nos corps pressés par l’étroitesse de la cabine. Ses mains pressaient ma forte poitrine avec envie. Ma petite culotte se mouillait sans effort. Ma main glissait sur son sexe à travers la texture rude de son jeans. Sa taille et sa fermeté m’excitait de plus en plus. Il n’aura fallu que le temps de baisser sa fermeture éclair avant de m’agenouiller pour l’enfoncer dans ma bouche. Sa verge était aussi dure que je la sentais, aussi savoureuse que je me l’imaginais entre deux gorgées de microbrassées bien froides. Ses lèvres qui cherchaient les miennes l’étais encore plus. Ses mains sur mon visage me faisaient valser l’intérieur. Quelques minutes intenses et un coït interrompu par les coups sur la porte de notre collègue. Les doutes étaient trop présents à la tablée, notre retour malaisant. Ils savaient. Tout ça n’avait aucun sens.
Je ne compte plus les fois où je me suis masturbée en pensant à sa grosse verge que j’avais pu masturber avec mes mains. J’adore masturber un homme. Les années ont passées et il s’est montré intéressé à récupérer quelques trucs dont je me débarrassais. Il a laissé savoir qu’il aimerait bien prendre un verre en spécifiant sa séparation pour éviter toutes ambiguïtés. Mon sexe s’est emballé à nouveau. J’ai accepté son invitation en osant lui dire que j’aimerais bien reprendre là où on avait cessé dans la cabine du pub… Il a trouvé cru la confidence, mais s’est présenté les minutes suivantes avec une bouteille de rouge. Quelques mots échangés et nos corps de sont enflammés à nouveau. Ses mains contre mes seins. Son sexe durcit à travers son jeans. Son parfum. Ses lèvres pulpeuses. En quelques minutes, nous étions nus. Nous avons ouvert la bouteille, avons trinqué et continué dans la chambre. De longs échanges langoureux, secs, sauvages. Et en plein milieu, nous nous sommes arrêtés pour nous saluer. Nous ne l’avions toujours pas fait.En écrivant, le rappel de son corps contre le miens, son odeur, son sexe dur et long suffisent à rendre humide et envieux, mon sexe.
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