Coffee & Blowjob

La règle était claire: sans paroles. Il a hésité vu les contraintes professionnelles, mais c’était à prendre ou à laisser.

7h20. Il est entré presque sans mots. Nos lèvres se sont effleurées. Je l’ai dirigé vers le divan. Il a enlevé son pantalon et je me suis agenouillée. J’ai léché sa queue de bas en haut en le fixant dans les yeux. J’ai mangé ses couilles, fait glisser ma langue autour de ce gland si bien défini, bavé sur celui-ci avant de me l’enfoncer au fond de la bouche. J’ai fait glisser son gland autour de ma bouche pour étendre son odeur. Il a joui sur mes seins. J’ai léché sa queue doucement pour le nettoyer. Nos lèvres se sont effleurées à nouveau et il est parti. Sa queue était délicieuse.

Je suis assise dehors avec un café, une lecture, de la musique et la seule chose que j’ai en tête, c’est sa queue dure dans ma bouche. Le summum, j’ai son odeur sur la bouche et juste la sentir me donne des frissons. Je ne sais pas comment il commencera sa journée et je m’en fou, mais la mienne sera enivrée par son odeur toute la journée. Et vous, qu’est-ce qui vous ferait plaisir avant de débuter la vôtre.

– La Contrôlante, 41 ans

Ton pénis

Ton pénis! Ton fameu bijou à toi. Tu sais, un pénis, c’est un pénis! C’est bien que tu en es un, c’est ce qui fait physiologiquement de toi un homme. Mais si tu aurais écouté ta maman lors de ta tendre enfance, tu saurais que ta zone intime est personnelle à toi. C’est exactement pour cette raison qu’on nous apprend le plus tôt possible à nous habiller mon cher: pour garder certaines choses privés. J’aimerais donc que tu m’expliques stp à quel moment et de qu’elle manière tu en es venu à mélanger « Bonjour » avec « TCHECK MA GRAINE! ». Entre nous mon grand, accosterais-tu quelqu’un dans le monde réel ainsi? Non mais imaginons la scène un instant! Tu marches tranquillement dans la rue, tu croises une jolie dame et VLAM! Tu te sors le moineau dans la rue avec ton plus beau sourire! Le ferais-tu? Non?!? Alors pourquoi juges-tu que c’est admissible de m’agresser de cette façon à travers mon écran? Si j’ouvre mon cellulaire ou mon ordinateur dans l’espoir de voir un pénis prendre tout l’espace, je vais directement contacter mes bons amis: PornHub ou YouPorn. Si j’ouvre ton message, c’est que je ne suis pas dans cette optique du tout! Je t’offre une autre mise en situation mon beau. Tu arrives chez ta mère un soir, tu sais cette femme qui t’as mise au monde et pour qui tu as le plus grand respect et que tu veux qu’on respecte en retour? Ben cette maman là! Et elle te présente son nouveau copain. Tu leur demande évidement comment ils se sont rencontrés, car c’est la question de base quand on rencontre le nouveau partenaire de vie une personne à laquelle on tient. Et ta mère toute souriante t’explique que Robert, le gros dégarnis assit à ses côtés, lui a envoyé une photo de sa zigounette sur badoo et elle a tout de suite compris que Bob était l’homme avec lequel elle voulait finir ses jours! Tu trouverais probablement ceci tout à fait normal mon homme puisque c’est également ta technique infaillible! Et bien la réalité dude, c’est que personne ne veut la voir ta graine. La fille l’autre côté de ton écran qui vient de te swiper à droite sur Tinder ou de te liker sur Badoo l’a probablement fait avec de l’espoir. L’espoir d’être enfin tombé sur un gars qui lui redonnera envie de croire à nouveau en l’amour. Elle croit certainement que tu réussiras à effacer ce que d’autres auraient détruit avant toi. Mais non! Elle aura eu droit à une photo en gros plan de ton gland. Je terminerais en t’expliquant ceci, mon Roméo du grelot qui manque sincèrement de confiance en lui. Ce qui va faire tomber une fille amoureuse de toi, c’est ton charme, ton sens de l’humour, ta galanterie, tes qualités, c’est toi en bref! Si tu veux coucher avec elle, ce sont tes mouvements, ton sourire, ton sex-appeal qui va lui donner envie de te laisser la sauter. Jamais une photo de pénis reçu comme ça au hasard ne provoquera la réaction que tu as attends par contre! Peu importe ce que c’est.

La Lavalloise, 27 ans

Le rebond

Se séparer après huit ans, ce n’est jamais facile! La séparation en soit est déjà une épreuve! Donc! J’étais séparé de mon mari depuis cinq mois lorsque j’ai rencontré NP. Physiquement, il n’avait malheureusement rien pour lui! Cote personnalité… Ce n’était pas trop sa non plus… Mais j’étais en peine d’amour j’avais besoin de me sentir belle, aimée, désirée! Je lui ai donc laissé sa chance. Premier soir, il vient souper chez moi… Je suis tellement stressée par cette « date » que je bois… TROP! avant même qu’il soit arrivé. J’ai descendu deux bouteilles de vin à moi toute seule. Je ne sais pas si c’est le fait de déparler ou de marcher croche, mais il a voulut me revoir, preuve qu’il n’était pas totalement lucide. Deuxième soir, il revient chez moi. Aucune gêne! Il me french à pleine bouche et se met allègrement les mains dans mon décolleté. On a clairement pas été élevé de la même façon lui et moi! Mais mon stress fait que je ne dis rien et me laisse faire. C’est pathétique quand même non? Troisième « date » il m’invite chez lui. Il m’amène dans un mauvais restaurant en spécifiant toutes les filles qu’il a déjà amené à cet endroit. Je bois encore une fois beaucoup trop! Il me ramène dormir chez lui. J’essaie de tout mon être de contrôler le stress du sexe qui semble imminent! On arrive chez lui et dans toute sa classe qui ne fait que s’accentuer, il me déshabille, me met à quatre pattes et sur un fouet… Ce gros débile est entrain de me fouetter! Et je me laisse faire… Non mais qu’elle conne je suis! Et c’est tout. Il m’a fouetté dix minutes, m’a fait des minouches et dodo. mais qu’est-ce que je viens de vivre? Le lendemain, NP m’annonce fièrement qu’il me pressente à sa famille. Crise de panique! Je vais exploser! Mais quel con présente une fille a ses parents après trois rencontres? Il a bien préciser la couleur de mes sous-vêtements devant tout le monde. C’est officiellement un connard! La fin de semaine suivante, je vais souper chez une amie et je l’invite. Il est arrivé avec quatre heures de retard et il a amené un sac remplit de jouet sexuel qu’il nous présente un à un.Mais sur quel détraqué je suis tombé? Le pire? Je ne dis toujours rien! On arrive chez lui, il enfonce sa tête sous les couvertures et m’inflige le pire cunilingus de ma vie. De tout mon cœur, j’ai préfère le fouet! Par contre, moi je j’ai toujours pas vu ou touché son sexe. NP a l’air de quelqu’un qui adore donné, mais sans recevoir. Il est définitivement très bizarre. Mais un élément étrange m’empêche de me sauver. Peut-être la peur de rejet en faite. Lors de notre dernier week-end, j’ai tout compris sans rien comprendre. Je suis arrivé chez lui, il avait commandé des sushis délicieux et nous avons écouté un film ensemble. Une fois au lit. Il insère ses doigts en moi et ça fait mal! Très mal! C’est mauvais et désagréable! Il m’explique qu’il essaye de trouvé mon point G et je me retiens pour pas le dire que tout ce qu’il risque de trouver c’est mon poing dans sa gueule. Je dois trouver un moyen qu’il m’a lâché avant de frapper dans le gorge. Je prend donc la décision d’essayer de lui rendre le « plaisir » qu’il m’a donner et BAM! Il n’a pas d’érection… Il m’explique que suite à une maladie XYZ, il est impossible pour lui de bander. Donc! J’ai fréquenté pendant Une mois et demi un homme laid, avec une personnalité de merde, des valeurs discutables, qui me faisait mal et qui n’arrivait pas à avoir le sexe dure. Et vous voulez savoir le pire? NP m’a ghoster! Le lendemain du soir où j’ai découvert et son petit problème, il m’a dit au revoir et ne m’à jamais redonné signe de vie. J’ai définitivement vécu le pire rebond de l’histoire l’humanité!

La Lavalloise, 27 ans

La studieuse

Jeune, j’étais de celles qui décoiffaient son entourage social par ses histoires érotiques rocambolesques. J’aimais les histoires qui sortent de l’ordinaire, les hommes particuliers, les originaux. Les dernières années pourraient se résumer à des études, du café et des enfants. J’étais une universitaire implacable. J’avais toujours tout lu, tout vu, tout compris. Je ne cadrais pas avec les autres… j’étais toujours plongée dans mes livres. Café, lunettes et livres. Ces soirs d’étude étaient souvent partagés avec d’autres étudiants avec qui nous échangions de tout et de rien entre deux rédactions. Il y avait cet étudiant à la maîtrise. Une dizaine d’années en moins que moi. Nous avons passé les 2-3 dernières années à partager quelques soirs d’étude. Nous nous entendions bien. À la fin du bac, nos chemins se sont séparés, comme avec tous les autres. Nous nous croisions à plusieurs reprises et nous promettions de nous croiser un soir autour d’une bière pour échanger à nouveau de nos défis professionnels. Il n’y avait rien de plus qu’une bonne amitié d’études. Un jour, je l’ai croisé et nous sortions une amie et moi ce soir-là. Il a promis de nous rejoindre. La soirée était bonne, amicale et très drôle. Mon amie était éméchée et malgré le fait qu’elle fréquentait un homme, elle n’arrêtait pas de flatter la cuisse d’un de nos collègues de travail. Mon ami, appelons K, était avec moi et nous nous sommes mis à caricaturer mon amie en riant… En blague, nous nous sommes flattés la cuisse sous la table, mais les mains sont devenues plus agréables que droles. Nous en sommes restés là, le bar était plein de ses collègues de travail, des miens et du fait que nous ayons beaucoup d’amis en commun. À la sortie du bar, mon amie a quitté et j’ai offert à K de marcher jusqu’à la maison. Nous avons discuté jusqu’aux petites heures du matin des relations humaines, de théories et de comportements, le tout, pendant que nos jambes flirtaient sous la table. Nous nous sommes embrassés et avons terminé le tout avec de douces masturbations échangées. Nous nous sommes endormis. À notre réveil, il y avait un petit malaise. Le petit malaise de la mère studieuse et du jeune étudiant. Nous nous sommes mis à discuter de notre perception l’un de l’autre durant les études. Il avait envie de moi lors de ces soirs d’études et je lui ai avoué avoir eu envie de lui entre deux rédactions. Durant la discussion, ses mains se glissaient sur moi et en moi au rythme doux de nos souvenirs d’études. Il s’est levé et est venu enfoncer sa queue dans ma bouche. J’étais mouillée et il enfonçait ses doigts en moi en suivant ma cadence. Il a joui sur moi. Sa queue avait un goût incroyablement doux. Nous nous sommes couchés et nous nous racontions nos aventures à usage unique. C’était aphrodisiaque. Ses histoires me faisaient littéralement mouiller. Son érection était instantannée à l’écoute des miennes. Nos mains étaient baladeuses. Ma bouche était sollicitée et je ne m’en suis pas plainte. J’aimais qu’il me prenne par les cheveux pour me diriger. J’aimais l’enfoncer au fond. J’aimais goûter et lécher ses petites gouttes hâtives. Il a aimé ma bouche, j’ai aimé sa queue. Nous avons recommencé sans fin tout le week-end. Je ne me souviens pas du nombre d’orgasmes qui se sont échangés durant le week-end, mais chacun d’eux était enivrants. L’image de la mère studieuse s’est dissipée et la mère studieuse s’est tapé le jeune homme à la maîtrise. Discussion, orgasme, café, discussion, orgasme, café. Il n’y a eu aucune pénétration. C’était le sexe le plus intense que j’ai eu depuis longtemps. C’était un week-end charnel, intellectuel et sexuel.

– L’éphémère du Sud, 41 ans