De ton odeur, tu m’as cueilli
De ta lourdeur, je m’affadis
De ton égocentrisme, tu m’as broyé
De tantrisme, je me suis noyée
De l’intérieur, tu me meurtris
De l’extérieur, je me flétris
De ton univers, tu m’assèches
De justicière, je deviens rêche
De ta présence, j’ai convoité
De ton absence, je me suis envolée
De sagesse, je me suis permise
De délicatesse, je t’ai privé
Sécheresse
