Quelques mots ou quelques pages, c’était tout ce dont il avait besoin pour me faire craquer. Déjà, j’avais un faible pour les mots, mais il ne le savait pas. C’était il y a près de 25 ans. Parce que j’ai eu envie de ne pas décevoir, elles ont disparues. C’était mon seul regret et ça l’est toujours à ce jour.
Je me noie dans les mots, je salive en lisant, je m’extasie quand ils sont judicieusement choisis. À ce jour, c’est l’élément déclencheur d’un état qui se vit mais ne se décrit pas. J’aimerais me laisser vibrer par l’odeur du papier et de l’encre à nouveau et qu’il se commette dans la douceur du bleu qui se dépose sur le papier.
J’aimerais que tu m’écrives des mots qui dansent au rythme de tes pensées.