In the springing of the year. Un hasard à pattes. Des nuits musicales. Un vague souvenir de déjà vu. Un plongeon olfactif. Un mélange culturel parfait. Un amalgame de plaisirs partagés. Une complicité enivrante. Un homologue lointain. En elle, tu lis tout ce qu’elle veut cacher.
Comme si elle était pendue à l’hameçon de l’âme soeur. La distance des uns est insoutenable, sa distance n’existe plus. Ton payssss est loin. Si près ou si loin, cette distance est aussi vulgaire que Madame Thatcher.
Derrière ton dos. Écouter. Sentir. Toucher. Chanter. Me cacher. Briller. Close your eyes and I’ll kiss you.
Et moi, je rêve de gestes défendus. C’est comme ça. D’indécence et de routine, de plaisirs et de platitudes, de grâce et de fougue, de douceur et de rudesse. D’abandonner la jolie pomme défendue à ton mètre quatre-vingt-trois.
Sache que ces silences sont déroutants. Sache que la simplicité est aussi douce que la complexité. Sache qu’elle n’écrit plus seule à sa table, malgré son café refroidi. Sache que ta sagesse et ta folie lui font grand bien.
Simple hasard, signe, synchronicité, destin? Je n’en sais rien and i like it.